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Le procédé d’impression offset repose sur l’encre et l’eau, deux éléments associés qui ne se mélangent pas puisque la composition de l’encre comporte des huiles. Le rôle de l’eau est de repousser l’encre des zones non imprimables. La solution de mouillage comporte aussi d’autres éléments dont l’alcool isopropylique.

L’impression de Transition Ecologique vise notamment ces trois éléments : la réduction ou la suppression de la consommation d’eau, la suppression des huiles minérales dans l’encre et la suppression de l’alcool isopropylique.

Seul le procédé d’impression waterless supprime l’eau et l’alcool isopropylique. Comme le waterless n’utilise pas d’eau, il n’a pas besoin de sécheur et de fait il supprime aussi l’usage du gaz nécessaire au séchage en fin d’impression qui est indispensable sur les rotatives conventionnelles qui sont par conséquent dotées de sécheur. Un sécheur est un four qui fonctionne au gaz pour une consommation horaire équivalente à celle d’une maison de 100 m2 pendant un mois.

Une imprimerie de la dimension de celle de Tremblay-en-France qui est le seul site waterless de France consommerait avec des rotatives conventionnelles près de 1.000.000 de litres d’eau soit 1000 m3 soit la consommation annuelle d’une ville de 10.000 habitants.

Ainsi, chaque collectivité qui opte pour l’impression waterless ramène à zéro ses consommations d’eau, de gaz et d’additifs chimiques participant ainsi à son niveau à économiser la ressource en eau mais aussi à réduire la consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre qui en découlent.

Comme notamment les départements de la Dordogne, des Ardennes, de l’Eure ou les villes de Sens, de Paris Neuvième, Aubervilliers, Montigny-le-Bretonneux et Fontainebleau, faites le choix de la Transition Ecologique pour votre communication

D’ici à la fin de l’année, L-Imprimerie de Tremblay-en-France utilisera les encres végétales qui sont en phase de test, supprimant ainsi l’usage des huiles minérales.